Il y a cependant une vraie ambiance de bambouseraie dans cet endroit fermé au public.
Dans nos jardins, c’est souvent le bruit du vent dans le feuillage qui se fait entendre.
Ici, ce sont les chaumes morts, brisés et vivants qui craquent et s’entrechoquent.
Les photos ne sont hélas pas de première qualité ; un jour, je rachèterai un reflex

Cils et oreillettes


Certaines séries sont légèrement ondulées

Des fourmis colonisent un chaumes brisé, ce qui n'est pas sans rappeler les oeuvres des fourmis et des termites sous d'autres climats


Le compas est réglé sur 71mm, soit le plus gros chaume que j'ai rencontré pour cette espèce.

Un arbre qui n'a pas supporté la concurrence.
Là aussi, "le bambou gagne"

